So this is how it ends.

Tout est consommé.

La.. rupture, séparation, je ne sais comment l'appeler, s'est faite à l'amiable. Pas de larmes ni de supplique déchirante, pas de cris de rage ou de désespoir. Du moins pas sur le moment.
That's the way it's supposed to be, isn't it?
Lorsque les deux parties arrivent à la même conclusion, et qu'il ne semble pas y avoir d'autre solution immédiate qui puisse résoudre tous nos problèmes.
La situation est plutôt simple, et se résume en hypothèses: "Si seulement nous étions moins loin, si nous avions pu nous voir plus souvent, si j'avais été plus présent.." Mais avec des si on pourrait refaire le monde. Et c'est bien là le soucis. Les promesses d'un avenir heureux et doré ne suffisaient plus. A effacer les petits détails gênants, les douleurs causées par les séparations, ou à recharger les batteries. Parce qu'à vouloir être le plus fort, à vouloir tout endurer sans faillir, on faiblit.
Car c'est un cercle sans fin que celui du doute. Sentir que l'autre souffre par sa faute, s'en vouloir, avoir des doutes de son côté, devoir réconforter, l'être. Se remettre en question. Douter encore.

Des regrets? Un seul.
Pas que tout finisse, car c'est véritablement mieux ainsi. Seulement que ça se fasse sur une note mélo-dramatique un peu effacé, au téléphone et non en face. Pas de mains tenues ni de baiser de fin. Et surtout, pas dans la tendresse et la douceur que j'avais prévue..
Enfin, j'imagine que c'est mieux ainsi. Plus facile en tout cas.

Bref. Je suis de nouveau libre.
I'm a brand new man.


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